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FFLY4U collecte 1.2 M€ auprès d’IRDINOV et de GALIA GESTION

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Leader de l’information embarquée sur les actifs mobiles et les biens sur les sites industriels et de construction, la start-up toulousaine Ffly4u finalise avec succès une nouvelle augmentation de capital de plus de 1,2 million d’euros.


Souscrite auprès d’IRDInov et du fonds d’investissement bordelais GALIA Gestion, cette opération permettra à Ffly4u de poursuivre son déploiement technique, en particulier autour des technologies d’Intelligence Artificielle (AI) et de Machine Learning (ML) embarquées. Elle a également vocation à accélérer le déploiement à l’international de la pépite toulousaine. Ce 3e tour de table porte le total des capitaux levés par la start-up à près de 3,2 millions d’euros en trois ans.

Une nouvelle tranche de levée de capitaux est d’ores et déjà programmée, elle interviendra avant la fin du 1er trimestre 2020.

Fondée en juin 2015, Ffly4u est spécialisée dans le suivi enrichi d’actifs mobiles et de biens sur les sites industriels et de construction, grâce à des boîtiers connectés (devices) autonomes en énergie. En seulement 4 ans, l’entreprise a su créer un service européen de localisation basse fréquence reposant sur un panel de technologies innovantes de type LPWAN – Sigfox ou LoRa -, et aussi d’Intelligence Artificielle et de Machine Learning, qui sont aujourd’hui au cœur de la création de valeur des solutions liées à l’Internet des Objets (IoT) et au M2M (Machine to Machine).

Ffly4u propose des solutions adaptées à des cas d’usage ciblés comme la localisation des actifs mobiles et des biens sur sites indoor et outdoor, le suivi de leurs conditions environnementales ou physiques (température) et la détection de leurs mouvements, de leur usage, des chocs, ou vibrations… ainsi que d’autres fonctions très spécifiques, liées aux métiers concernés, mettant en œuvre les plus récentes technologies embarquées.

Objectif : créer de la valeur-métier de plus en plus pertinente et complexe

Avec ses solutions, ffly4u offre à ses clients, non seulement un nouvel outil d’optimisation de leurs moyens industriels (éviter des pertes ou l’inutilisation de biens, assurer leur intégrité, connaître leur localisation,…) mais aussi, l’opportunité de créer de nouveaux services monétisables auprès de leurs propres clients.

Ces derniers ont ainsi la possibilité de faire évoluer leur business-model, d’un modèle purement « produits » à un modèle « produits + services », par la fourniture d’informations embarquées. Par exemple, sur le couple contenant/contenu.

Ffly4u propose aujourd’hui 4 principales verticales-métiers, sur lesquelles elle a développé une large expertise, lui permettant de répondre aux besoins spécifiques de chaque secteur : industrie du câble et de la fibre (tourets) / transport de bennes / transport de remorques / logistique, supports de manutention.

Mi-2019, Ffly4u a développé une 5e verticale-métier visant au développement de services adaptés aux besoins de l’industrie Aéronautique.

Fin 2018 / début 2019, Ffly4u a introduit les technologies d’Intelligence Artificielle et de Machine Learning à l’intérieur de ses devices, tout en maintenant leur autonomie énergétique d’au minimum 5 ans. C’est une première en Europe ! L’objectif est d’accroître la valeur sur l’ensemble de ses verticales-métiers, au-delà de la mise à disposition des données brutes émanant de ses capteurs embarqués.

Par exemple, sur le secteur du câble électrique et fibre téléphonique, la fonction « compte tours » d’un touret de câble permet d’améliorer la gestion d’un chantier au travers de la connaissance, en fin de journée, de la longueur résiduelle de câble sur chacun des tourets.

Autre exemple : sur la verticale-métier des supports de manutention, Ffly4u a développé, une fonction « lavage », permettant, grâce à ces mêmes technologies IA/ML, de reconnaître la signature vibratoire du Karcher sur le support, et d’en déduire la durée de lavage, donnée très pertinente pour les secteurs de la cosmétique et pharmaceutique.

Plus globalement, ces nouvelles technologies embarquées et adaptées par Ffly4u aux contraintes du Low Power Wan permettent d’identifier certaines phases cruciales de « vie » de l’actif connecté, autour de fonctions spécifiques aux métiers du client. La monétisation par ces derniers de ces nouvelles données-métier en est facilitée. De l’avis de Ffly4u, c’est l’avenir du secteur de l’IoT dans le monde.

Le marché mondial sur lequel évolue Ffly4u est très important et volumineux, lui laissant de belles perspectives de développement.

Après avoir déployé 4 000 devices en 2018, Ffly4u prévoit d’en connecter entre 8 000 et 10 000 supplémentaires au cours de cette année.

Pour Olivier PAGES, CEO de Ffly4u : « La confirmation du soutien de IRDInov et l’arrivée de GALIA Gestion dans le Capital de Ffly4u est d’abord la reconnaissance des bons résultats à date, mais aussi de la pertinence du positionnement de Ffly4u, en particulier autour, à la fois de son approche commerciale novatrice par verticale-métier, et de l’introduction dans nos devices de nouvelles technologies software, très innovantes, comme l’Intelligence Artificielle et le traitement embarqué et en temps réel de la donnée. Ces approches technologiques sont porteuses de nouvelles et très judicieuses créations de valeur pour nos clients. Grâce à ces nouveaux services ffly4u à très forte valeur ajoutée, l’IoT industriel est en train de migrer vers une phase de monétisation, par les industriels, de la data très spécifique à chacun de leur métier et à ne plus uniquement viser l’optimisation de leurs moyens internes. C’est à ce prix, créer de nouveaux revenus spécifiques à chacun des métiers concernés, que l’IoT devient une fonction incontournable dans le monde industriel et de la distribution. En parallèle, ces nouveaux moyens financiers nous permettront de consolider nos positions en Europe, en particulier en Allemagne, Suisse, Autriche et Royaume-Uni, et sur le reste du continent, où nous avons déjà des pilotes en cours et des demandes de déploiement. »

« Nous sommes heureux d’accueillir Galia Gestion à nos côtés. Ffly4u continue sa croissance en ajoutant des fonctionnalités fortement créatrices de valeur comme le « edge computing » et en signant de nouveaux contrats dans des verticales-métiers différentes. Ffly4u est bien positionnée pour profiter de la croissance du secteur grâce à ses produits et son équipe.» indique Jean-Michel PETIT, directeur de Participations d’IRDI SORIDEC Gestion.

Pour Christophe DOUFFET, Directeur de Participations chez GALIA Gestion : « Le positionnement de Ffly4u par rapport à l’écosystème actuel de l’IoT dénote : le savoir-faire de l’équipe lui permet d’appréhender la technologie sans en dépendre, et de la mettre en œuvre de façon pertinente sur les segments industriels sélectionnés. On dépasse les premiers cas d’usage axés sur la seule géolocalisation pour entrer sur une seconde génération de produits apportant une forte valeur ajoutée aux clients, jusque dans leur propre offre ».

Ffly4u a été accompagnée par MULTEAM dans cette levée de fonds. La transaction a été réalisée avec le soutien du cabinet d’avocats Themis Conseils.

Qui est Ffly4u ?
Créée en juin 2015, Ffly4u bénéficie de l’expérience et du savoir-faire de son Président, Olivier Pagès, qui évolue depuis plus de 25 ans dans le domaine de la Supply Chain, en particulier dans le pooling d’emballages réutilisables (LPR, PICK-AND-GO) et d’une équipe expérimentée de 12 ingénieurs dont 3 docteurs ingénieurs spécialisés dans les domaines du hardware électronique, software embarqué, mécanique et plateforme data/ applicatifs métier.

Ffly4u propose un service clés en main : conception, industrialisation et fabrication de l’émetteur à placer sur l’actif à tracer, contrat avec les opérateurs de réseaux bas débit et GSM en France et en Europe, récupération et structuration des données sur une plateforme data adaptée aux besoins spécifiques de chaque client, comme par exemple l’envoi d’alertes SMS et e-mails. Ce service s’adresse à l’ensemble des secteurs industriels manufacturiers : aéronautique, alimentaire, automobile, chimie, construction, aéronautique, et aux milieux pharmaceutique et hospitalier, ainsi qu’à tous les secteurs de la Distribution GMS, GSB,…

Depuis son lancement, ffly4u est en phase de déploiement de ses services (4.000 actifs tracés en 2018 / de 12 à 14.000 en 2019), et a réalisé plusieurs pilotes avec de grands comptes industriels en France, en Europe et au Japon, tous couronnés de succès.

La société, qui compte 14 collaborateurs, prévoit de développer un CA de l’ordre d’environ 1000 k€ en 2019.

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La transformation digitale est loin d’être une réalité dans les TPE

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Moins d’une TPE sur trois a entamé ou achevé son processus de transformation digitale. Bien qu’elles y voient une nécessité, elles sont pourtant encore nombreuses à être freinées par des considérations d’ordre financiers et de compétences.

Entre la prise de conscience de devoir évoluer et les actes, il y a un fossé que les TPE peinent à franchir en matière de transformation digitale. C’est l’un des enseignements de l’étude menée pour le compte de Sage et de la Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) auprès de 450 sociétés de 0 à 49 salariés et de 200 experts comptables. Dans leur grande majorité, les sondés estiment que la transformation numérique est nécessaire. Un tiers d’entre eux la voit comme une opportunité et la moitié la considère comme un élément important pour la suite de leur activité.
L’adaptation des équipes et des process refroidissent 43% des sondés
Malgré l’enjeu, moins d’une TPE sur trois a achevé ou entamé ce processus de transformation. Nombre d’entre elles y seraient même fermement réfractaires, estimant qu’il constitue plutôt une entrave qu’une opportunité. Elles craignent de devoir affronter des difficultés au niveau de leurs process (43%), du manque de compétences techniques de leurs équipes (41%), et du financement nécessaire (40%). Par catégorie de sociétés, l’étude constate que ce sont les artisans qui accusent le plus de retard. Les plus touchées sont les structures de 0 à 2 salariés, suivies de celles de 3 à 9 employés (47%). Les taux sont encore plus forts dans les secteurs de la construction, du commerce et des services aux particuliers.
Pourtant, l’exemple des TPE ayant déjà entamé leur transition est de nature à rassurer les réfractaires. Celles-ci admettent en effet avoir observé des impacts positifs sur tous les aspects de leur activité : dans le domaine de la communication, pour 41% d’entre elles, dans l’organisation et le suivi des activités et de la gestion comptable (35%), dans la paye et les RH (34%).
Les éditeurs préférés aux prestataires IT dans l’accompagnement des TPE
Concernant les types d’intervenants sur lesquels elles comptent pour les accompagner dans le déploiement de leur stratégie de transformation digitale, les TPE citent en premier lieu les éditeurs (40%). Les prestataires IT sont cités par 32% d’entre elles et les experts comptables par 31%. Elles attendent d’eux des recommandations sur les choix des solutions numériques adaptées à leur activité (80%), la fourniture d’outils (71%) ou encore sur leur stratégie de transformation digitale (68%).
Ces derniers devront se montrer pédagogues en matière de sécurité dans la gestion des données et des flux, un problématique centrale dans la digitalisation des entreprises à laquelle semblent être peu sensibles les TPE. Seul la moitié d’entre elles se sent concernée par les cyber risques. Elles ne sont même que 14% à être protégées. Cela s’avère peu étonnant lorsque l’on apprend que 21% des sondés s’estiment être peu susceptibles de subir une attaque. Les experts comptables font toutefois exception. Assurer la sécurité des données de leurs clients est au coeur de leurs préoccupations.
Fabrice Alessi, Distributique

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Comment décrocher un CDI chez Atos ou Sigfox tout en étant formé ?

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Comment décrocher un CDI chez Atos ou Sigfox tout en étant formé ? Deux grandes entreprises du numérique recrutent à Toulouse des concepteurs développeurs d’applications en collaboration étroite avec l’Afpa. Patricia Gallais, coordonnatrice du projet, nous présente ce dispositif.

– Pourquoi l’Afpa s’est-elle rapprochée de Sigfox et Atos ?
Nous proposons depuis douze ans une formation de Concepteur développeur d’applications à Toulouse. Nous nous sommes positionnés sur des POEI (Préparation opérationnelle à l’emploi individuelle) et des contrats de professionnalisation, que nous avons mis à la disposition de nos entreprises partenaires. Sigfox et Atos se sont montrés intéressés.
– Quelles seront les modalités de ce parcours ?
Vingt-quatre candidats, douze par entreprise, vont suivre trois mois de formation en POEI, suivis d’un contrat de professionnalisation de douze mois, qui sera divisé en trois mois de formation à l’Afpa et neuf mois en entreprise. À l’issue de ce parcours, les apprenants obtiendront un titre professionnel de niveau II (Bac +4) de Concepteur développeur d’applications, et signeront un CDI dans l’une des deux entreprises.
– Qui est concerné ?
Les deux entreprises ont des exigences qui diffèrent un peu. Atos recherche des niveaux Bac +4/5 dans des filières scientifiques ou un niveau Bac +3 avec une expérience dans les métiers du développement informatique et une bonne pratique de l’anglais. Sigfox demande au minimum un niveau Bac +2 (toutes filières), une bonne maîtrise de l’anglais et un esprit start-up.
– Comment va s’opérer la sélection ?
Le recrutement des candidats est absolument primordial dans cette démarche. Nous demandons aux personnes intéressées de nous transmettre leur CV et leur lettre de motivation, afin de vérifier qu’ils répondent aux critères attendus par les entreprises. Après avoir participé à une réunion d’information, les candidats passeront des tests et des entretiens.
Propos recueillis par Agnès Frémiot
La formation pour Atos aura lieu de décembre 2019 à février 2021, celle pour Sigfox de janvier 2020 à mars 2021.
Contact : recrutedigital.balma@afpa.fr

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Investissements. le fonds Ixo Private Equity ouvre un bureau à Bordeaux

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Ixo Private Equity, acteur important du capital investissement en région, avec des investissements unitaires compris entre deux et trente millions d’euros, consolide sa présence dans le Sud-Ouest avec l’ouverture d’un bureau à Bordeaux .

« Très investi en région Nouvelle Aquitaine, Ixo Private Equity accompagne déjà plusieurs sociétés régionales en fort développement, à l’image de Atlantique Automatismes Incendie, Syst’Am, Optimum, Zolux, JV Group, Baobag, Abrideal, Telecom Design,… », indiquent ses dirigeants dans un communiqué.
La création de l’antenne de Bordeaux s’est accompagnée de l’arrivée d’une nouvelle directrice de participations, Véronique Chabert Spaak, qui travaillait précédemment au cabinet de conseil en fusion acquisition Alienor Partners, à Bordeaux. Le siège social de Ixo Private Equity reste à Toulouse.
La rédaction, Touléco

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Le grand public va dépenser 1690 Md$ en achats technologiques en 2019

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En hausse de deux points cette année par rapport à 2018, la croissance des dépenses des particuliers en bien technologiques devrait se maintenir au-dessus de 5% par an jusqu’en 2023.

En 2019, les dépenses du grand public dans les technologies traditionnelles auront représenté environ ¾ des dépenses globales des particuliers en bien technologiques.Le cap des 2 000 milliards devrait être allègrnement franchi en 2020. Crédit photo : D.R
Les produits technologiques pèsent toujours plus lourd dans les paniers d’achats des particuliers. Cette année, estime IDC, leurs investissements dans ce type de biens devraient atteindre 1690 Md$ (227 Md$ en Europe de l’Ouest) et s’être ainsi appréciés de 5,3% sur 12 mois. En comparaison, la hausse s’était élevée à environ 3,5% en 2018. Non content de marquer une amplification, le rythme de progression actuel devrait en outre se maintenir. Le cabinet d’études anticipe une croissance annuelle moyenne de 5,1% jusqu’en 2023 pour un niveau de ventes de 2060 Md$ cette année-là.
En 2019, les dépenses du grand public dans les technologies traditionnelles auront représenté environ ¾ des dépenses globales des particuliers en bien technologiques. Plus de la moitié de ce montant est capté par les opérateurs télécoms, puis par les fabricants de téléphones mobiles et les marques de PC. Mais ce type de dépenses ne connaît qu’une faible croissance qui devrait être de 2,2% par an en moyenne au cours des quatre années à venir.
Les technologies émergentes tirent les dépenses vers le haut
Il en va tout autrement pour les achats se portant sur des technologiques émergentes qui vont enregistrer une hausse annuelle moyenne de 13,2% jusqu’en 2023. On trouve parmi elles notamment les caques de réalité augmenté et de réalité virtuelle, les objets connectés portables, la robotique ou encore les objets intelligents pour la maison. En 2023, ces produits devraient représenter un tiers des dépenses des particuliers en bien technologiques. Et, 90% de ces dépenses devraient être orientées vers les services à la demande et les objets intelligents pour la maison.
Fabrice Alessi, Distributique

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IDC relève ses prévisions pour le marché mondial de la cybersécurité

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Ce ne sont plus 103,1 Md$ mais 106 Md$ de chiffre d’affaires qu’IDC anticipe désormais pour le marché mondial de la sécurité IT en 2019.

Répartition des dépenses mondiales en cybersécurité par type de biens et de services en 2019. Illustration : IDC
Les services managés s’imposent comme le premier poste de dépenses actuel et futur.
D’après les dernières estimations d’IDC, les ventes mondiales de services, de logiciels et de matériels dédiés à la sécurisation des environnement IT atteindront 106,6 Md$ cette année. Ce montant correspondrait à une hausse de 10,7% par rapport à 2018. En outre, il s’avère supérieur de 3,5 Md$ aux précédentes prévisions faites par le cabinet d’études en mars. Dans les quatre ans à venir, IDC s’attend à ce que le marché de la sécurité informatique enregistre une progression annuelle moyenne de 9,4% pour générer 151,2 Md$ de chiffre d’affaires en 2023. « Le dynamisme du marché est renforcé par l’importance que les cadres dirigeants portent à la notion de confiance. Cette notion va au-delà des aspects traditionnels de la cybersécurité. La complexité à la mettre en oeuvre fait clairement les affaires des fournisseurs de solutions de sécurité IT », explique Franck Dickson, analyste chez IDC.
47 Md$ pour les services dont 21 Md$ pour les services managés
Les services constituent le principal pilier du marché mondial de la cybersécurité. En 2019, ils capteront 47 Md$ au sein du budget que les entreprises consacrent à la protection de leur systèmes informatiques. Le chiffre d’affaires qu’ils dégagent devraient progresser de 11,2% par an jusqu’en 2023. De leur côté, les ventes de logiciels devraient générer 38 Md$ de facturations cette année, et les ventes de matériels 21 Md$ principalement consacrés à la protection des réseaux.
Toutes catégories confondues, ce sont les services managés de sécurité qui sont en tête des investissements (21 Md$ en 2019) des organisations. Jusqu’en 2023, la croissance des revenus qu’il génèrent devrait atteindre 13,9% par an. Les matériels de protection des réseaux constituent le poste de dépenses numéro deux, tandis que les services d’intégration et les logiciels de protection des extrémités de réseaux (par exemple les PC) se classent respectivement en troisième et quatrième positions.
Des dépenses contraintes pour les plus gros investisseurs
Les deux tiers des revenus enregistrés par les prestataires de services et les fournisseurs spécialisés dans la sécurité proviennent des dépenses des entreprise de 500 à plus de 1000 salariés. Celles de 100 à 499 collaborateurs leurs assurent 27 Md$ de chiffre d’affaires, et le grand public 5,8 Md$. Dans les rangs des plus grandes entreprises, ont trouvent les banques qui, avec l’industrie de détail et les organismes gouvernementaux, sont les plus gourmandes en services et solutions de cybersécurité. A eux trois, ces acteurs assurent 30% des investissements mondiaux en cybersécurité. A cela s’ajoute le fait que plus de 35% de leur budget sont orientés vers les services managés de sécurité. Leurs lourdes dépenses se justifient notamment par le fait qu’ils sont chargés de protéger des données hautement sensibles et doivent être en conformité avec une myriade de mandats.
Fabrice Alessi, Distributique

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Feelobject lance une campagne de crowfunding

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Feelobject passe un nouveau cap et ouvre son capital en lançant une campagne de crowfunding.

« L’invention de l’écriture braille date de 1829, le premier chien guide d’aveugle est entré en activité en 195 et la première canne blanche est apparue en 1921, rappelle Sylvain Huin, Président et cofondateur de Feelobject. Aujourd’hui Feelobject révolutionne la mobilité des personnes malvoyantes et non-voyantes avec Virtuoz (fixe ou mobile), grâce à un plan en relief et des effets sonores, qui permettent aux personnes déficientes visuelles de se déplacer en autonomie dans les bâtiments et leurs alentours. »

Feelobject a connu ses premiers succès commerciaux et le dernier en date a été enregistré début octobre, avec la première université équipée : l’Université de Perpignan Via Domitia

Feelobject entre aujourd’hui dans une nouvelle phase et souhaite accélérer son développement, notamment grâce à une levée de fonds et à l’ouverture de son capital aux investisseurs intéressés (voir notre précédent article).

Son prévisionnel de développement laisse apparaître un besoin en financement global de 30K€ (minimum 100K€ via la plateforme Kriptown), principalement pour renforcer son service commercial et marketing et son déploiement national.

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Gartner prédit 17% de croissance au marché du cloud public en 2020

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Après avoir connu une hausse de 15,8% en 2019, les revenus des opérateurs de cloud public devraient progresser à un rythme encore plus soutenu l’an prochain.

Progression du marché mondial du cloud public par segments entre 2019 et 2021. Source : Gartner
La croissance du marché mondial du cloud public ne devrait pas faiblir l’an prochain. A en croire Gartner, le chiffre d’affaires des acteurs du secteur devrait atteindre 266,4 Md$ en 2020 et s’apprécier ainsi de 17% sur 12 mois. Les opérateurs pourraient ainsi se montre encore plus dynamiques que cette année où leurs revenus sont attendus en hausse de 15,8% à 227,8 Md$. Reste que Gartner tablait initialement sur une progression de 17,5% pour 2019. « Aujourd’hui, le cloud est devenu un courant dominant. Les entreprises qui l’adoptent ou l’ont adopté en attendent aujourd’hui un ROI encore plus important. Par ailleurs, les solutions de nouvelle génération qui sont mises en oeuvre intègrent quasi systématiquement une composante hébergée », indique Sid Nag, analyste chez Gartner.
+24% de croissance pour le IaaS
Comme cela a toujours été le cas, le SaaS sera encore la principale source de revenus du marché du cloud public l’an prochain. Sur ce segment de marché, les souscriptions atteindront 116 M$ (+16,6%), soit 43% des facturations totale des opérateurs. Viennent ensuite les services IaaS qui généreront 50 M$ de chiffre d’affaires (+24%) et capteront ainsi 18,7% des dépenses globales. La troisième position est occupée par la gestion des processus métiers dans le cloud (BPaaS) à laquelle Gartner prédit 46,9 M$ (+7,3%) de revenus en 2020 pour 17,6% de part de marché.
Fabrice Alessi, Distributique

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Tarn-et-Garonne : coworking à Laguépie

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La liste des espaces de coworking en Occitanie ne cesse de s’allonger, notamment avec des implantations opportunes dans les zones rurales.

Laguépie ? Pour celles et ceux qui sont « du coin », il n’y a aucune difficulté pour situer la commune. Pour « l’Occitan lambda », on peut rappeler que Laguépie est située au nord-est du Tarn-et-Garonne, aux confluents du Tarn, de l’Aveyron, du Sud du Lot et pas loin de Toulouse (moins de 100 kilomètres). C’est là qu’a été créée l’un des « tout nouveau » espaces de coworking, baptisé l’Usine.

Cette création présente deux originalités. D’une part, c’est le 1er espace labellisé « Ecoboost Coworking » par la CCI de Tarn-et-Garonne. D’autre part, c’est la confirmation que les tiers-lieux sont de plus en plus souvent implantés dans les zones considérées comme rurales. Bref, il devient de plus en plus difficile d’accéder à une liste exhaustive des tiers-lieux en Occitanie (voir cette liste, créée par La Mêlée).

Pascal Boiron, MID e-news

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1er raccordement à la fibre en Haute-Garonne : c’est fait !

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Le premier raccordement de la Haute-Garonne à la fibre est inauguré ce 22 novembre à Saubens.

Georges Méric, président du Conseil départemental et Annie Vieu, présidente de Haute-Garonne Numérique et vice-présidente du Conseil départemental en charge du numérique, inaugurent ce 22 novembre à Saubens le premier raccordement à la fibre optique de la Haute-Garonne, en présence de Jean-Marc Bergia, maire de Saubens, Thierry Suaud, conseiller régional de la Région Occitanie Pyrénées – Méditérannée, Etienne Guyot, préfet de la Région Occitanie Pyrénées – Méditérannée et de la Haute-Garonne, et Ilham Djehaich, présidente de Fibre 31.
Entre 2019 et 2022, le Conseil départemental, via le syndicat mixte Haute-Garonne numérique et son délégataire Fibre 31, déploie la fibre optique sur l’ensemble du territoire haut-garonnais*.
Ce déploiement concerne 278 000 foyers non encore desservis et représente un budget total de 533 M€ dont 31 M€ d’investissements publics portés par Haute-Garonne numérique, l’Etat et la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée.
Le premier raccordement du territoire aura lieu au groupe scolaire de la commune de Saubens.
Ainsi, 12 communes haut-garonnaises seront raccordées à la fibre optique d’ici fin décembre 2019 : Saubens, Fonsorbes, Montoulieu-Saint-Bernard, Terrebasse, Bachas, Boussan et Marignac-Laspeyres Portet-sur-Garonne, Seysses , Villemur-sur-Tarn, Labarthe-sur-Lèze, Pins-Justaret et Alan.
Par ailleurs, les habitants peuvent désormais faire une recherche avec leur adresse postale sur le site d’éligibilité de fibre31.fr
Au-delà de l’installation du réseau, le Conseil départemental porte une véritable stratégie de développement des usages et des services numériques afin que la transition numérique bénéficie à tous les citoyens, quels que soient leur lieu de résidence, leur âge ou leur situation sociale.
« Le déploiement de la fibre optique annonce la fin de la fracture numérique en Haute-Garonne. Grâce à l’action de Haute-Garonne numérique et de son délégataire, Fibre 31, l’ensemble des Haut-Garonnais bénéficieront du très-haut débit dès 2022. Il s’agit d’un calendrier très ambitieux, qui permet de répondre dans les plus brefs délais aux attentes des habitants, du monde économique et des services publics sur tout le territoire » déclare le président du Conseil départemental Georges Méric .
« Le raccordement de la fibre optique à Saubens marque l’aboutissement d’une première phase de travail qui a permis la construction des 10 000 prises sur le territoire. L’arrivée de la fibre constitue une véritable avancée en termes de qualité de vie pour les habitants, notamment en zones rurales, et va permettre l’essor de nouveaux usages, tels que la dématérialisation des démarches administratives, le télétravail, ou encore la télémédecine », souligne Annie Vieu, présidente de Haute-Garonne numérique.

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